• les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    les environs de Chitkul, 3 500 m d'altitude;

    lors d'une agréable promenade dans les environs du village de Chitkul qui se trouve à 3 500 m d'altitude (il fait froid mais le soleil se montre) nous croisons des villageoises qui travaillent dans les champs, durement car la terre est aride et parfois sous le regard surpris d'hommes qui nous observent de loin.

    Sur la dernière photo,  un propriétaire assure la paye des villageoises et les discutions sont apres.

    Le paysage est fabuleux.


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  • rencontre avec des écolières;

    il ne fait pas chaud le matin dans ce village au bord d'un torrent

     

    sur l'autre blog, la suite de la visite du monastère, les magnifiques peintures;

    ICI


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  • portrait

    portrait

    toujours ce chapeau traditionnel de cette région du Kinnaur;

     

    et sur mon autre blog, un magnifique monastère syrien et son père, un jésuite italien qui l'avait rénové et qui vient de mourir dans les géoles syriennes le 13 aout 2013;

    ICI


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  • paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    paysages de haute montagne dans l'himalaya;

    on campait aux pieds de ces montagnes, quel plaisir au coucher du soleil mais aussi le matin au lever en prenant son thé;


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  • rencontre avec des népalais;

    rencontre avec des népalais;

    ce charmant petit village de montagne où nous nous sommes arrêtés est le point de départ de trecks en altitde, une nouvelle passion pour les indiens notamment ceux qui viennent du sud, , du bord de la mer où il fait si chaud toute l'année;

    rencontre avec des népalais;

    rencontre avec des népalais;

    du coup, il a fallu trouver des sherpas, des spécialistes du treck pour les conseils mais aussi pour porter les sacs un peu lourds quand on marche à plus de 3 000 m et que l'on vient du bord de mer;

    c'est alors que les népalais sont venus proposer leurs services car dans leur pays, l'un des plus pauvres du monde, il n'y a pas de travail; 

    ils attendent sur le bord de la route que des touristes (indiens) viennent solliciter leurs services; certains n'ont que 15-16 ans mais ils sont dur au mal, courageux et ont une famille à faire vivre, restée au pays et qu'ils ne verront que 2 fois par an.

    Quand il n'y a pas de treckeurs, ils proposent lers service pour porter les lourdes charges, sacs de terre, de ciment, meubles car ils sont plus costaux et résistants que les locaux pour un prix dérisoire.

    Il y a de plus en plus de touristes indiens qui partent àla découverte de leur pays en famille;

    l'émergence d'une classe moyenne aisée (tout est relatif bien sûr) comme en Chine et avec 1 milliard d'habitants, 5 % de touristes, ça fait 50 millions de gens qui voyagent en train ou en bus à travers le pays du nord au sud à la découverte des temples et autres richesses culturelles;


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