• le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le cratère du Erta Ale de jour

    le spectacle n'est pas le même de jour et de nuit, les couleurs changent mais la lave en fusion à 1 200 degrés, c'est toujours aussi impressionnant, on ne craint qu'une chose, que la lave séchée qui tapisse le sol craque et que l'on glisse et tombe dans le cratère, et je ne plaisante pas;

    les gardes nous escortent pour les 4 h de descente vers le camp de base aussi pénibles que la montée car le chemin est très mauvais et très escarpé; 

    la visite dans la région du Danakil est terminée;

    nous prenons la direction de Lalibela appelée aussi la Jérusalem noire, célèbre pour ses églises orthodoxes monobloc creusées dans la roche;

    Je fais une pause de quelques semaines et reviendrai fin octobre après quelques semaines sous le chaud soleil indien.

    A bientôt donc.

     


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  • le camp de repos

    le camp de repos

     

    des huttes très succintes pour passer qq heures de repos et se protéger du froid et du vent avant de redescendre

    le camp de repos

     

    le camp de repos

    un champ de lave séchée et craquante qui rend la marche difficile et dangereuse

    le camp de repos

    nos gardiens ne nous quittent pas et veillent sur nous, kalachnikof à l'épaule

    le camp de repos

    le chemin escarpé qui relie le camp et le cratère


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  • le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    le volcan Erta alé

    Après une marche de 6 h de nuit à cause de la chaleur, nous arrivons au sommet du volcan Erta Ale, 613 m d'altitude vers minuit; après 1 h de repos nous partons voir le cratère rempli de lave en fusion (1 200 degrés, il ne faut pas tomber dedans!!!); une odeur de soufre très forte irrespirable et très dangereuse donc si l'on ne se met pas dans le vent;

    la couleur est magnifique, je n'avais jamais vu de volcan en activité avec de la lave en fusion;

    puis nous gagnons le sommet où se trouvent quelques huttes pour dormir quelques heures avant de retourner voir le soleil se lever sur le cratère.


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  • retour au camp de base

    retour au camp de base

    retour au camp de base

    retour au camp de base

    retour au camp de base

    nous reprenons la route pour regagner le camp de base en traversant une région très aride et en croisant de temps en temps une caravane de sel, des oasis où paissent de jeunes dromadaires ou un point d'eau qui nous permet de nous rafraichir un peu au milieu des enfants venus faire le plein d'eau;


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  • Dallol suite

    Dallol suite

    un petit lac noir fait d'eau très très chaude (80 degrés)

    Dallol suite

    un autre lac asséché

    Dallol suite

    Dallol suite

    Dallol suite

    Dallol suite

    Dallol suite

    Dallol suite

    un autre lac mais toujours cette eau bouillante à l'odeur de soufre

    Dallol suite

    l'eau bouillonne

    Dallol suite

    les couleurs sont toujours aussi extraordinaires dans ce paysage lunaire:


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