après l'école qui ne dure qu'une demi journée par manque de place, les enfants , garçons et filles, gardent les bêtes dans les champs pour aider les parents pris par d'autres tâches;

la vie est dure pour les enfants aussi mais eux ne s'en rendent pas compte car ils ne connaissent pas autre chose.

Pour eux, l'école est un espoir de vie meilleure; ils connaissent une maturité que les nôtres ont perdue à force d'être couvés par les parents; j'ai été très surpris parfois par les réactions de jeunes ados de 9-10 ans qui prenaient des décisions d'adultes lorsqu'il fallait gérer certaines situations de la vie courante, chose impensable chez nous.

c'est sans conteste le plus bel hôtel que j'ai eu lors de mon séjour dans ce pays, un cadre exceptionnel, une construction très écologique, bien pensée, des sanitaires irréprochables alors que c'est en général le point faible dans ce pays, très bien entretenu et d'une propreté parfaite;

et la cuisine du restaurant était à l'image de l'hôtel avec des injeras délicieuses.

Bien entendu, cet hôtel est réservé aux touristes, aux représentants des ONG, des organismes gouvernementaux en déplacement; les autochtones, y compris guides, chauffeurs n'ont pas les myens d'y loger et dorment dans de petites gasthouses des villages environnants;

une chambre coûte 1 300 birrs ( 50 euros) la nuit mais il n'y avait pas d'autre hôtel correct (normes locales) dans le coin au tarif plus modéré de 300-400 birrs (12 euros ).

une superbe entrée

des bougainvilliers décorent la façade

on en trouve de toutes les couleurs

il n'y a pas de dromadaires sauvages en Ethiopie; ils ont tous un propriétaire.

les termitières éthiopiennes ont une forme particulière que l'on ne retrouve nulle part ailleurs;